18 juin 2010

Encore deux semaines


- Je n’ai entendu parler d’aucun effet néfaste dans mes enquêtes parmi les hommes de médecine, dit Stephen, bien qu’elles soient connues, estimées et très généralement utilisées dans tout le Pérou. Aussi longtemps que l’homme est homme, il y a toujours une possibilité d’abus, bien sûr, comme il y en a parmi nous avec le thé, le café, le tabac, le vin et bien entendu les alcools violents, mais je n’ai jamais entendu parler d’aucun cas, en plusieurs semaines ou même mois de résidence parmi les Péruviens.
Patrick O’brian Le Commodore 1995
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